Mon expérience de la contagiosité vaccinale
De la découverte du phénomène par la sensibilité
Dès la fin de l’été 2021, certains de mes amis avaient développé le COVID suite à des moments partagés avec des personnes injectées. À cette époque, quelques-uns commençaient à parler de contracter le virus de manière non naturelle à cause de la probable projection de certains éléments du vaccin. C’est vrai qu’à l’époque je ne me disais encore que si ce n’était que ça, il suffisait de faire attention et que ça irait.
Puis à l’automne-hiver 2021, je commençais à avoir des symptômes désagréables (perte de sang en dehors de mes périodes menstruelles, mal de gorge en respirant le même air, mal de tête). Ceux-ci en présence de personnes injectées ou même de personnes non injectées mais qui fréquentaient régulièrement des personnes injectées (famille, travail). Là, je m’apercevais que le problème commençait à prendre de l’ampleur. En effet, certaines personnes se faisaient contaminer sérieusement et en contaminaient d’autres à leur tour. Mais c’est suite à une expérience assez virulente en novembre 2021 que j’ai compris qu’il était dangereux de donner des consultations ou des ateliers à des personnes injectées à l’ARNm. J’ai, en effet, pu sentir des énergies très plombantes et désespérantes. Y a-t-il des entités ténébreuses derrière tout ça ? Je pose la question. Mais je ne veux plus revivre cela.
Des données scientifiques timides

Sur le plan scientifique, très peu osaient (encore maintenant) aborder la question. On trouvait à partir du printemps 2022 quelques informations autour du sujet. À ce même moment, l’air était devenu pour moi irrespirable dans les lieux clos de type supermarché.
J’étais désorientée et étais tombée malade au bout de quelques minutes à peine après avoir fait mes courses. J’ai compris que je devais éviter les lieux publics clos désormais.
Pendant l’été 2022, je me suis associée avec un ancien médecin qui regardait l’état du sang des personnes vaccinées et non-vaccinées. Il suspectait une contamination qui passe notamment dans le sang. Nous avons réalisée ensemble 14 soirées-débats sur le sujet de la contamination vaccinale dans 12 villes de France. De mon côté, je tentais d’expliquer ce phénomène avec un point de vue astrologique et numérologique afin de comprendre le sens de ce qui se joue.
Les observations du sang avançant, les constations étaient sans appel : plus nous diminuons notre fréquentation des personnes injectées à l’ARNm, plus le sang semble se rapprocher de la normale.
De la gravité de cette transmission pour les non injectés
À un certain stade de mes compréhensions sur cette contagiosité, je prenais conscience qu’il n’était pas seulement question pour moi de symptômes physiques ou psychiques. Mon vrai problème commençait à se situer à un autre niveau. Et si mon corps était envahi de nanoparticules de type graphène ? Qu’allait-il se passer ? À quoi sert-il d’ailleurs dans un corps humain ?!! Quels sont les projets de ceux qui organisent cela ? Et que cela allait-il donner avec la 5G ?
Une autre question me taraudait : et si l’ARNm se transmettait également ? Ce qui est probablement le cas selon certains chercheurs… Je ne veux absolument pas voir mon ADN se modifier comme un OGM ! Je suis un humain !!
Des choix difficiles, mais qui me semblent justes
De mon expérience de ma tournée de soirées-débats sur le sujet de la contamination vaccinale, je suis tentée, à ce stade, de préciser que je n’ai rien contre les personnes injectées à l’ARNm. Je n’ai ni colère ni tristesse. La situation est telle qu’elle est et je compose avec !
Aujourd’hui, comme à tous ceux qui sont au courant de cette contagiosité vaccinale, un choix s’impose face à ce risque. Fermer les yeux ou se protéger. Mais si l’on choisit de se protéger, pourquoi faire tous ces efforts ? Des décisions qui vont changer notre vie à jamais ! Alors, pourquoi tout changer ?
Je vais vous donner mes raisons.
Des changements importants
Pour ma part, j’ai fait le choix de me protéger. Mais nous n’avons pas tous la même compréhension de ce mot. Lors de la tournée de soirées-débats sur ce sujet, j’ai rencontré des personnes qui pensaient se protéger par une prise régulière de compléments alimentaires sans changer leur exposition à la contamination. Mais il me semble impossible de me protéger de cette façon. Comment voudrais-je éliminer les toxines aussi vite que je les fais entrer dans mon corps ?
De mon côté, j’ai donc fait le choix de cesser le plus possible mes expositions aux situations potentielles de contamination : plus de transports en commun, réduction minimale de ma présence dans les lieux clos (supermarché, par exemple), détachement de relations avec des personnes vaccinées ou non vaccinées très exposées ne voulant pas se protéger elles aussi, travailler qu’avec des personnes non injectées, éviter les foules même en extérieur, etc.
Bien sûr, ces choix s’effectuent dans une certaine globalité et sens de vie. Par exemple, j’ai choisi de ne plus avoir de téléphone portable en 2021. J’ai choisi mon logement sans compteur Linky et loin des antennes mobiles en trouvant ma maison près d’Orléans en 2022, notamment pour ne plus m’exposer aux ondes. Tout cela s’inscrit aussi dans un but de contrôle et de manipulation des populations. Stop à tout ça ! Ces choix allant quelque part dans le même sens : celui de la préservation de la nature, de la nature humaine et des valeurs morales.
Les raisons de ces choix
Se lever et se battre pour des valeurs
Lors des soirées-débats sur la contagiosité vaccinale, j’ai reçu quelques remarques à tout ce que je viens de vous exposer. Une personne m’a dit qu’elle était fort désolée que je sois malade à cause des projections du vaccin, mais qu’elle n’avait, quant à elle, aucun symptôme et n’allait pas arrêter de s’exposer.

À vrai dire, je comprends qu’il peut y avoir un malentendu sur ce que j’expose. Mais mes décisions ne découlent pas d’un besoin de me protéger de ces symptômes, mais bien de me protéger de ce qu’ils me signalent c’est-à-dire de la transmission fort probable de graphène, de protéine spike et d’ARNm.
Une autre personne m’a répondu que, de toute façon, on allait bien mourir un jour alors que cela ne valait pas le coup de changer sa vie pour cela. En fait, je l’ai souvent entendu autour de moi. C’est une des choses qui me fait le plus froid dans le dos. Si on applique cette philosophie à sa vie, n’y a-t-il pas un problème ? Que restera-t-il de l’humanité si on devient tous transhumains bourrés de nanotechnologies dans le corps abreuvé de 5G ? Et que reste-t-il au fond de notre cœur si nous n’avons plus le vœu de défendre nos valeurs les plus chères ?!
Pour un Nouveau Monde
Je ne suis probablement pas la plus grande résistante que vous rencontrerez ni la plus informée. J’ai mis un certain temps à peser la gravité de ces injections d’ARNm. Par contre, j’ai toujours aimé m’intéresser à la collectivité. Dès mes 14 ans, j’ai choisi toute seule de me présenter aux élections municipales de Lyon, où je vivais, dans le but d’améliorer la société. Et je continuerai d’œuvrer à mon échelle selon mes valeurs avec d’autres.
Nous sommes nombreux à avoir choisi de faire attention à la contamination vaccinale dans le but de préserver une humanité avec un ADN non modifié, non bourré de nanotechnologies. Pourquoi ? Pour construire une nouvelle société basée sur d’autres valeurs que la surconsommation ou le matérialisme, mais sur des valeurs de respect de l’humain et de la nature. Nous tentons de la créer en nous détachant de nos relations avec elle, au fur et à mesure et à notre rythme. Nous remplaçons ce manque par d’autres relations, notamment en mettant la spiritualité au centre de nos vies. Ce n’est pas simple, cela prend du temps. Mais ce qui nous unit c’est notre souci de protection de notre futur. Et nous avons l’espérance d’y arriver ensemble et avec d’autres qui feront le même choix que nous.
Vous êtes intéressé ? Vous êtes les bienvenus…
Marie